La pause narrative dans deux romans de Marie NDiaye : La Sorcière et Rosie Carpe

[1] TODOROVE, Tzvetan. La notion de littérature. Paris : Le Seuil, 1987.
[2] GENETTE, Gérard. Figures II. Paris : Le Seuil, 1997.
[3] _ . Figures III. Paris : Le Seuil, 1972.
[4] MERCIER, Andrée. « La Sorcière de Marie NDiaye : du réalisme magique au banal invraisemblable », in
Analyses, vol. 4, N° 2, printemps-été 2009, p. 176-193.
[5] METZ, Christian. Essais sur la signification au cinéma. Paris : Klincksieck, 1968.
[6] NDIAYE, Marie. La Sorcière. Paris : Minuit, 1996.
[7] _ Rosie Carpe. Paris : Minuit, 2001.
[8] NAZRI-DOUST Mas’oud, KHANYABNEJAD, Adel, KORDBACHEH, Marzieh, « Paysage flou et
Thème de l’égarement dans trois romans de Marie Ndiaye » in Plume, Seizième année, N° 31, Printemps
– Été 2020.
[9] NAZRI-DOUST, Mas’oud, KHANYABNEJAD, Adel, KORDBACHEH, Marzieh. “Rosie Carpe, un
roman poétique » in Recherches en Langue et Littérature Françaises, 2021; 14(26): 149-161.
[10]NAZRI-DOUST Mas’oud, « Etude de la structure narratologique dans Carnet d’assurance maladie de
Jalāl Al-é Ahmad » in Revue des Études de la Langue Française, Cinquième année, N° 8, Printemps-Été
2013.
[11]POUILLON, Jean. Temps et roman. Paris : Gallimard, 1946.